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 molkhasat doros 1 bac

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marouane
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مُساهمةموضوع: molkhasat doros 1 bac   molkhasat doros 1 bac Icon_minitimeالأحد يونيو 06, 2010 9:19 pm

biographie de Ahmed Sefrioui
Né de parents berbères, Ahmed Sefrioui a toujours été passionné par la littérature de son pays et les écrits français. Même si l'on sait peu de choses sur sa vie, ses romans parlent d'eux-mêmes et retracent le parcours de cet original et ambitieux Marocain qui a été capable de créer un mouvement littéraire. Il débute d'abord en tant que journaliste pour le quotidien nationaliste 'Action du peuple' mais, très vite, il choisit des voies plus proches de la culture comme, par exemple, conservateur au musée d'Addoha ou fonctionnaire dans différentes structures ministérielles. Malgré tout, son parcours professionnel est bien moins important que son parcours littéraire. En 1949, il publie son premier roman, 'Le Chapelet d'ambre', où il évoque sa ville natale, Fès. Cette première entrée dans le monde des livres lui apporte le Grand Prix littéraire du Maroc. C'est la première fois dans l'histoire qu'un natif marocain l'obtient. En 1954, il publie chez Seuil 'La Boîte à merveilles', considéré aujourd'hui comme un roman ethnographique mais surtout comme le premier roman de la littérature marocaine d'expression française. Il crée ainsi un nouveau mouvement et introduit le monde littéraire oriental dans la culture occidentale. En 1973, il expatrie sa publication et fait éditer en Algérie son roman 'La Maison de servitude', un énorme succès. Ahmed Sefrioui a été, jusqu'à sa mort, un grand écrivain, à la plume originale et novatrice capable de créer un véritable melting-pot culturel.
Les personnages principaux de l'œuvre : Je : C'est l'auteur-narrateur-personnage. Il est le fils de lalla Zoubida et de Sidi Abdeslem. Il s'appelle Sidi Mohamed.âgé de six ans, il se sent seul bien qu'il aille au M'sid. Il a un penchant pour le rêve. C'est un fassi d'origine montagnarde qui aime beaucoup sa boite à Merveilles, contenant des objets mêlés. Il souffre de fréquentes diarrhées
Le véritable ami du narrateur. Elle contenait des boules de verre, des anneaux de cuivre, un minuscule cadenas sans clef, des clous à tête dorée, des encriers vides, des boutons décorés, des boutons sans décor, un cabochon (=bouchon en verre ou en cristal de forme arrondie) de verre à facettes offert par Rahma et une chaînette de cuivre rongée de vert-de-gris offerte par Lalla Zoubida et volée par le chat de Zineb
Lalla Zoubida : la mère du narrateur. Une femme qui prétend être la descendante du prophète et s'en vante (s'en flatte). Elle croit aux superstitions. Ses yeux reflètent une âme d'enfant ; elle a un teint d'ivoire, une bouche généreuse et un nez court. Elle n'est pas coquette. Agée de vingt-deux ans, elle se comporte comme une femme vieille.
Sidi Abdeslem : le père du narrateur, homme d'origine montagnarde. Il s'installe à Fès avec sa famille après avoir quitté son village natal situé à une cinquante de kilomètre de la ville. Il exerce le métier de tisserand (=fabriquant des tissus) Grâce à ce métier, il vit à l'aise. Homme fort et de haute taille. Un homme barbu que le fils trouve beau. Il a la quarantaine.
La chouaffa : Voyante, c'est la principale locataire de Dar Chouaffa et on l'appelle tante kanza
Dris El Aouad : C'est un fabriquant de charrues. Il est époux de Rahma. Il a une fille âgée de sept ans qui s'appelle Zineb
Fatma Bziouya : Elle partage avec la famille du narrateur le deuxième étage, son mari Allal est jardinier.
Abdelleh : Il est épicier. Le narrateur lui attribue toutes les histoires merveilleuses qu'il a eu l'occasion d'entendre


. CHAPITRE7 : Le narrateur se demande quel intérêt peut-il tirer en sauvant d'autre têtes alors qu'il ne peut sauver la sienne.
CHAPITRE8 : Le jeune condamné compte le temps qui lui reste à vivre. Six semaines dont il a déjà passé cinq ou même six. Il ne lui reste presque rien.
CHAPITRE9 : Notre prisonnier vient de faire son testament. Il pense aux personnes qu'il laisse derrière lui : sa mère, se femme et sa petite fille. C'est pour cette dernière qu'il s'inquiète le plus
CHAPITRE10 : Le condamné nous décrit son cachot qui n'a même pas de fenêtres. Il décrit aussi le long corridor longé par des cachots réservés aux forçats alors que les trois premiers cabanons sont réservés aux condamné à la peine capitale.
CHAPITRE11 : Pour passer sa longue nuit, il se lève pour nous décrire les murs de sa cellule pleins d'inscriptions, traces laissées par d'autres prisonniers. L'image de l'échafaud crayonnée sur le mur le perturbe.
CHAPITRE12 : Le prisonnier reprend sa lecture des inscriptions murales. Il découvre les noms de criminels qui ont déjà séjourné dans cette triste cellule.
CHAPITRE13 : Le narrateur- personnage se rappelle d'un événement particulier qui a eu lieu il y a quelques jours dans le cour de la prison : le départ des forçats au bagne de Toulon. Il nous rapporte cet événement comme un vrai spectacle en trois actes : la visite médicale, le visite des geôliers et le ferrage. Il nous parle du traitement inhumain réservé à ces condamnés. A la fin du spectacle, il tombe évanoui.
CHAPITRE14 : Quand il revient à lui, il se trouve dans l'infirmerie. D'une fenêtre , il peut observer les forçats partir tristement sous la pluie au bagne de Toulon. Il préfère plutôt la mort que les travaux forcés.
CHAPITRE15 : Le prisonnier est dans sa cellule. Il avait senti un peu de liberté dans l'infirmerie mais voilà qu'il est repris par l'idée de la mort qu'il pense à s'évader.
CHAPITRE16 : Le narrateur se rappelle de ces quelques heures de liberté à l'infirmerie. Il se souvient de cette jeune fille qu'il a entendu chanter de sa vois pure, veloutée une chanson en argot.
CHAPITRE17 Il pense encore à s'évader. Il s'imagine déjà en dehors de la prison dans le port pour s'embarquer vers l'Angleterre mais voilà qu'un gendarme vient demander son passeport : le rêve est brisé
CHAPITRE18 : Il est six heures du matin. Le guichetier entre dans le cachot. Il demande à notre condamné ce qu'il désire à manger.
CHAPITRE19 : Le directeur de la prison vient en personne voir le condamné. Il se montre doux et gentil. Le jeune comprend que son heure est arrivée

CHAPITRE34 : Au milieu de ses souvenirs de jeunesse, le condamné pense à son crime. Entre son passé et son présent, il y a une rivière de sang : le sang de l'autre ( sa victime) et le sien( le coupable
CHAPITRE35 : Le narrateur pense à toutes ces personnes qui continuent toujours à mener leur vie le plus normalement au monde
CHAPITRE36 : Il se rappelle ensuite du jour où il est allé voir la grande cloche (le bourdon) de Notre-Dame (cathédrale à Paris)
CHAPITRE37 : Le narrateur décrit brièvement l'hôtel de ville.
CHAPITRE38 : Il est une heure le quart. Le condamné éprouve une violente douleur. Il a mal partout. Il lui reste deux heures quarante cinq à vivre.
CHAPITRE39 : On dit que sous la guillotine, on ne souffre pas, que cela passe vite. Le narrateur se demande comment on peut savoir une telle chose puisque aucun condamné déjà exécuté ne peut l'affirmer.
CHAPITRE40 : Le jeune détenu pense au roi. C'est de lui que viendrait la grâce tant attendue. Sa vie dépend d'une signature. Il espère toujours.
CHAPITRE41 : Le condamné se met dans la tête l'idée qu'il va bientôt mourir. Il demande un prêtre pour se confesser, un crucifix à baiser
CHAPITRE42 Il se laisse dormir un moment. C'est son dernier sommeil. Il fait un cauchemar et se réveille frémissant, baigné d'une sueur froide.
CHAPITRE43 : La petite Marie vient rendre visite à son père. Ce dernier est choqué devant la fraîche et la belle petite fille qui ne le reconnaît pas. Elle croit que son père est mort. Le jeune condamné perd tout espoir.
CHAPITRE44 : Le détenu a une heure devant lui pour s'habituer à la mort. La visite de sa fille l'a poussé dans le désespoir.
CHAPITRE45 ; Il pense au peuple qui viendra assister au « spectacle » de son exécution. Il se dit que parmi ce public enthousiaste, il y a des têtes qui le suivront , sans le savoir, dans sa fatale destination.
CHAPITRE46 : La petite Marie vient de partir. Le père se demande s'il a le temps de lui écrire quelques pages. Il cherche à se justifiez devant les yeux de sa fille
CHAPITRE47 : Ce chapitre comporte une note de l'éditeur ; les feuillets qui se rattachent à celui-ci sont perdus ou peut être que le condamné n'a pas eu le temps de les écrire
CHAPITRE48 ; Le condamné est dans une chambre de l'hôtel de ville. A trois heures, on vient l'avertir qu'il était temps. Le bourreau et ses deux valets, lui coupent les cheveux et le collet avant de lier ses mains. Le convoi se dirige ensuite vers la place de Grève devant une foule de curieux qui attendent l'exécution.

Le fqih du Msid : Maître de l'école coranique. Il somnole pendant que les écoliers récitent les versets du Coran. Il distribue des coups de baguette au hasard. Un grand maigre à barbe noire, dont les yeux lançaient des flammes de colère et qui habitait rue Jiaf.
Lalla Aicha : Une ancienne voisine de lalla Zoubida, c'est une Chérifa qui a su rester digne malgré les déception du sort et dont la connaissance flattait l'orgueil de lalla Zoubida.
Driss le teigneux : Fidèle serviteur de Sidi Abdessalem, il garnissait (= remplissait) les canettes et faisait les commissions.
Résumé général de l'œuvre : L'auteur-narrateur personnage raconte son enfance alors qu'il avait six ans. Par un va et vient entre le point de vue de l'auteur-narrateur adulte et de l'auteur-narrateur enfant , le lecteur entre dans le monde solitaire du narrateur qui malgré quelques timides amitiés ne semble compter comme véritable ami que la boite à merveilles. En faisant le bilan de son enfance, l'auteur raconte ses journées au Msid auprès du fqih et de ses condisciples (=collègues), la maison de Dar Chouafa et les habitudes de ses habitants ainsi que le souvenir de fierté de sa mère concernant ses origines et son habitude à passer du rire aux larmes en plus de son art de conter les événements d'une façon qui passionnait son auditoire. De part son genre, le récit reste un véritable témoignage du vécu de ses personnages par la fréquence des noms de quartier qui constituent une véritable cartographie géographique. La figure calme du père est mise à rude épreuve dans le marché des bijoux quand il vient aux mains avec le courtier avant d'acheter les bracelets or et argent à sa femme. Cet incident précède l'annonce de la perte du capital dans le souk des haïks ce qui fait basculer le niveau de vie de la famille dans la pauvreté. Après avoir assuré le quotidien de sa famille, le père part aux environs de Fès pour travailler comme moissonneur. Après un mois d'absence, il rentre chez lui pour apprendre le divorce de Moulay Larbi avec sa seconde épouse, la fille du coiffeur, ce qui lui permet d'exprimer son soulagement quant à ce dénouement.
Le Dernier Jour d'un condamné : résumés
CHAPITRE1 : Depuis cinq semaines, un jeune prisonnier vit constamment avec l'idée de la mort. Il est doublement enfermé. Physiquement, il est captif dans une cellule à Bicêtre. Moralement, il est prisonnier d'une seule idée : condamné à mort. Il se trouve dans l'impossibilité de penser à autre chose
CHAPITRE2 : De sa cellule, le narrateur se souvient de son procès et de sa condamnation à mort. Il relate les circonstances de son procès et sa réaction au verdict fatal.
CHAPITRE3 : Le condamné semble accepter ce verdict. Il ne regrette pas trop de choses dan,s cette vie où tous les hommes sont des condamnés en sursis. Peu importe ce qui lui arrive.
CHAPITRE4 : Le condamné est transféré à Bicêtre. Il décrit brièvement cette hideuse prison
CHAPITRE5 : Le narrateur nous parle de son arrivée à la prison. Il a réussi à améliorer ses conditions de prisonnier grâce à sa docilité et à quelques mots de latin. Il nous parle ensuite de l'argot pratiqué en prison.
CHAPITRE6 : Dans un monologue intérieur, le prisonnier nous dévoile sa décision de se mettre à écrire. D'abord, pour lui-même pour se distraire et oublier ses angoisses. Ensuite pour ceux qui jugent pour que leurs mains soient moins légères quand il s'agit de condamner quelqu'un à mort. C'est sa contribution à lui pour abolir la peine capitale
.
CHAPITRE20 : Le narrateur pense à son geôlier, à la prison qu'il trouve partout autour de lui, dans les murs, dans les guichetiers...
CHAPITRE21 : Le condamné reçoit deux visites. D'abord celle du prêtre et puis celle de l'huissier. Ce dernier vient lui annoncer que le pourvoi est rejeté et que son exécution aura lieu le jour même place de Grève. Il reviendra le chercher dans une heure.
CHAPITRE22 : Le prisonnier est transféré à la Conciergerie. Il nous conte le voyage et sa discussion avec le prêtre et l'huissier pendant le trajet. Il se montre peu bavard et parait plutôt pensif. A huit heures trente, la carriole est déjà devant la Cour
CHAPITRE23 : L'huissier remet le condamné aux mains du directeur. Dans un cabinet voisin, il fait une rencontre curieuse avec un le condamné à mort qui séjournera dans la même cellule à Bicêtre. Ce dernier, fils d'un ancien condamné à mort lui raconte son histoire et s'empare de sa redingote.
CHAPITRE24 : Le narrateur est enragé parce que l'autre condamné lui a pris sa redingote.
CHAPITRE25 : Le condamné est transféré dans une autre cellule. On lui rapporte, sur sa demande une chaise, une table, ce qu'il faut pour écrire et un lit.
CHAPITRE26 : Il est dix heures. Le condamné plaint sa petite fille qui restera sans père. Elle sera peut être repoussée, haie à cause de lui.
CHAPITRE27 : Le narrateur se demande comment on pouvait mourir sur l'échafaud.
CHAPITRE28 : Il se rappelle avoir déjà vu une fois monter une guillotine sur la place de Grève.
CHAPITRE29 : Le jeune détenu pense à cette grâce qui ne vient toujours pas. Il estime maintenant que les galères seraient meilleure solution en attendant qu'un jour la grâce arrive.
CHAPITRE30 : Le prêtre revient voir le condamné. Celui-ci est loin d'apprécier sa présence. Ce prêtre parle machinalement et semble peu touché par la souffrance du prisonnier. Ensuite, et bien que la table soit délicate et bien garnie, il ne peut manger.
CHAPITRE31 : Le narrateur est surpris de voir un monsieur prendre les mesures de la cellule. Ironie du sort : la prison va être rénovée dans six mois.
CHAPITRE32 : Un autre gendarme vient prendre la relève. Il est un peu brusque. Il demande au prisonnier de venir chez lui après son exécution pour lui révéler les trois bon numéros gagnants à la loterie . Le condamné veut profiter de cette demande bizarre : il lui propose de changer ses vêtements avec lui. Le gendarme refuse ; il a compris que le prisonnier veut s'évader.
CHAPITRE33 : Pour oublier son présent, le narrateur passe en revue ses souvenirs d'enfance et de jeunesse.Il s'arrête longuement sur le souvenir de Pepa, cette jeune andalouse dont il était amoureux et avec qui il a passé une belle soirée d'été.
CHAPITRE49 : Le condamné demande sa grâce à cette personne qu'il croyait juge, commissaire ou magistrat. Il demande, par pitié, qu'on lui donne cinq minutes pour attendre la grâce. Mais le juge et le bourreau sortent de la cellule. Il reste seul avec le gendarme. Il espère encore mais voilà qu'on vient le chercher.
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